La couche la plus externe de l’émail. Etude comparative en microscopie électronique à balayage
Mots-clés :
email animal et humain, couche de surface, microscopie électronique à balayageRésumé
La couche de surface de l’émail a été observée, en M.E.B., chez quelques espèces représentatives du regne animal. Nous avons étudié l’organisation structurale de l’émail en surface et subsurface. La couche superficielle de l’émail a été, souvent, qualifiée d’«aprismatique». Pourtant, chez de nombreux mammifères les prismes atteignent, presque toujours, la limite externe de la couche d’émail où ils sont alignés perpendiculairement à la surface. Le terme «aprismatique» nous paraît donc impropre. La couche de surface constitue, néanmoins, une entité structurale et physico-chimique. Sa répartition sur les surfaces dentaires permet d’expliquer les résultats variables obtenus lors du mordançage de l’émail.
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