La polyphonie chez Igiaba Scego et Léonora Miano
Une arme narrative pour se réapproprier une parole politique
DOI:
https://doi.org/10.1344/Compas.2022.5.39570.47-54Resumen
Cet article vise à comparer le travail de deux écrivaines qui appartiennent toutes deux à la « littérature postcoloniale » et sont de la même génération : l’autrice italo-somalienne Igiaba Scego (née en 1974) et l’autrice franco-camerounaise Léonora
Miano (née en 1973). Le poids de la domination coloniale est une thématique omniprésente dans les deux textes que nous avons choisi d’analyser : Crépuscule du tourment de Miano et Oltre Babilonia de Scego. Notre article a pour but d’explorer la capacité de ces textes, leur pouvoir à se constituer comme des « contre-narrations » grâce au mécanisme
de la polyphonie, indissociable d’une écriture de l’intime.
Mots clés : littérature postcoloniale, polyphonie, « Écriture de l’intime », contre-narrations.
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